Titre : Nos Étoiles Contraires
Auteur : John Green
Editeur: Nathan
Année 1er édition : 2012 (VO); 2013 (VF)
Nombres de pages : 330
Langue : Français
Présentation de l'éditeur
Hazel, 16 ans, est
atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté
l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y
ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par
d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon
en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature.
Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les
réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le
temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite
dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
Ma note : 5/5
Mon avis : Ce livre est d'une beauté absolue ! C'est un vrai petit bijou que John Green nous offre là. C'était la 1ère fois que je lisais un de ces romans et je dois dire que son style m'a beaucoup, voir même, énormément plu ! C'est un livre qui vous prends au trip et qui, une fois ouvert, ne peux plus être refermé avant le dénouement finale qui est juste cruel et horrible et je maudis John Green pour m'avoir fait pleurer comme il l'a fait !
Mon avis : Ce livre est d'une beauté absolue ! C'est un vrai petit bijou que John Green nous offre là. C'était la 1ère fois que je lisais un de ces romans et je dois dire que son style m'a beaucoup, voir même, énormément plu ! C'est un livre qui vous prends au trip et qui, une fois ouvert, ne peux plus être refermé avant le dénouement finale qui est juste cruel et horrible et je maudis John Green pour m'avoir fait pleurer comme il l'a fait !
Alors vous allez me dire, comme mon frère quand je lui ai expliquer pourquoi je pleurais : " Mais à quoi tu t'attendais ? C'est un livre sur des gens qui ont le cancer ! Si ça avait été gaie, j'aurais douté de ton état de santé mental et de celle de l'auteur". Alors oui, c'est vrai, je me doutais bien que ça allait pas être gaie, que certain passage aller être dur... mais c'était mal connaitre l'auteur. D'ailleurs, une citation du livre lui même traduira très clairement (ou pas aussi...) ce que je veux dire : "Je crois qu'on peut choisir dans la vie comment on a envie de raconter une histoire triste, et Augustus et moi avons choisi la manière drôle" .
Voilà ! Tout le long de la 1ère partie du roman, l'auteur nous mets en confiance, nous attendris avec ces personnages, on s'attache cruellement à eux, on comprends, compatis, vie la maladie a travers eux... et c'est une fois qu'on est bien accroché, que l'auteur est sûr qu'on est pris dans les mailles du filets qu'il referme le pièges sur ces personnages et sur nous par la même occasion. Qu'est-ce que je vous disais : cruel, ce John Green, IL EST CRUEL !
Mais qu'est-ce que ce livre est beau ! Qu'est-ce que les personnages, pourtant si jeune, sont lucides, simples, cultivés, sarcastiques, et beaux ! Ils
vivent une des choses les plus horribles au monde mais savent encore
nous faire rire grâce à leur humour, à leur amour de la vie et à surtout, leur
envie de rester en vie.
En bref, je dirais qu'il n'y a pas de mot pour décrire ce livre : il se ressens. J'ai
ris, j'ai eu de la peine (j'ai même eu beaucoup de peine), j'ai souris,
j'ai pleuré, (j'ai même beaucoup pleuré), mais avant tout ce livre m'a
vraiment fait réfléchir sur la vrai valeur de la vie: sur la sienne et
de celle d'autrui. Et l'écriture de John Green : magnifique ! Je
conseille ce livre à tous ! Si vous ne l'avez pas encore lu, il le
faut ! Ou bien, vous passerez à coté d'un chef d’œuvre ! Pour ma part ce livre se
rangera dorénavant dans la catégorie Monument littéraire, aux cotés de
Wuthering Heights, Twilight, Shakespeare et tout les autres grands
classiques qui font de la littérature un art magique. My famous last
words will be : Thank you. Thank you Mr Green for sharing with us this
amazing story.
Du même auteur : Qui es-tu Alaska ? paru en mars 2011 chez Gallimard Jeunesse
Le Théorème des Catherines, paru en mai 2012 chez Nathan
Will & Will, paru en mars 2012 chez Gallimard Jeunesse
Citations : "Certains pensent qu'Amsterdam est la ville du péché. En réalité, c'est la ville de la liberté. Et dans la liberté, la plupart des gens trouvent le péché"
"Savez-vous ce que Dom Pérignon a dit après avoir inventé le champagne ? " Venez vite ! Je goûte les étoiles !" "
" Je ne t'en voudrais pas, Hazel Grace. Ce serait un privilège d'avoir le cœur brisé par toi. "
" Dans ce monde, ce n'est pas nous qui choisissons si on nous fait du mal ou non, en revanche on peut choisir qui nous fait du mal. J'aime mes choix. J'espère qu'elle aime les siens.
Je les aime, Augustus. Je les aime."
"Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse."
"Ce qu'il y a avec la douleur, c'est qu'elle demande a être ressentie"
" La douleur ne nous change pas, Hazel, elle nous révèle"
Ce qui m'a inspiré durant ma lecture :
Whistle For The Choir - The Fratellis
Je l'ai écouté en boucle tout le long, je trouve que les paroles collent bien à l'histoire de Hazel et Augustus

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